Voyage de luxe aux Galapagos
Un menu « safari » au cœur des Galapagos
En immersion dans une nature luxuriante.
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Au large de l’Equateur, l’archipel des Galapagos est l’un des rares endroits de la planète épargnés par la main de l’homme. Suffisamment en tout cas pour conserver un environnement sain. C’est aussi l’un des plus grands foyers de réserves naturelles, parmi lesquelles le Parc National de l’île de Santa Cruz. À la lisière de ce parc, une ferme reconvertie en hôtel haut de gamme, le Galapagos Safari Camp. Une expérience exceptionnelle en soi, d’autant plus lorsqu’elle se combine à une croisière ou à un safari.
C’est l’un des premiers campements de luxe d’Amérique latine. Vu d’en haut, on dirait une chenille surplombée d’un serpent. Il s’agit en réalité des neuf tentes « grand confort » jouxtant le bâtiment principal de l’hôtel. Les 55 hectares d’herbe sont jaunis par le soleil. L’Océan Pacifique n’est pourtant pas loin. On l’aperçoit de n’importe quel point d’observation. C’est là l’un des atouts majeurs du Galapagos Safari Camp, son panorama identique depuis chacune de ses chambres.
Autour du lodge principal perché sur une colline aride avec véranda, neuf tentes luxueuses montées sur des plateformes en bois. Pas étonnant que leurs murs et leur toit soient particulièrement épais, ces abris de vingt-sept mètres carrés se composent de trois couches superposées. Un tissu imperméable en surface, une protection contre le soleil et enfin, un voile de sécurité pour consolider le tout. Un cadre loin d’être blindé, quoique assez résistant pour protéger le mobilier intérieur. Réalisés sur mesure, chaque commodes, placard, bureau et charpente de lit provient d’un artisan local différent. Dehors, un balcon habité par un hamac et quelques chaises regardant l’horizon.
On se rend à la piscine à débordement, point de départ de maintes excursions. Le contour du bassin est fait de bois, si bien qu’on a l’impression d’une poutre délimitant un étang. Un étang toutefois limpide et surtout plongé dans une végétation aussi riche que la carte des safaris mis à la disposition des clients. C’est effet au milieu de tortues et de scalesias, guayabillos ou encore palos santos, entre autres espèces florales, que l’on décide de ses activités du jour. Direction le Galapagos National Park, sur l’île de Santa Cruz ? Ou bien la plage pour un safari « surf et yoga » ? Ou encore l’Amazone qui se jette dans le Pacifique, ou la Cordillère des Andes, pour un safari « continental en Équateur » ? Ou enfin le bateau du Galapagos Safari Camp en vue d’une croisière en famille ? Tout est possible, il suffit de demander.